Un titre inédit

Fancy Fair ou « Œuvre de bienfaisance », est un faux anglicisme fabriqué à partir de deux mots anglais, littéralement: « Fancy » (fantaisie) et « Fair » (équitable). Et s’il y a bien une chose que souhaite Guillaume Ledent à notre planète, c’est de la bienfaisance et bienveillance: envers les humains, envers la nature.

Avec des grands-parents paternels ardennais « émigrés » en 1950 dans le Hainaut et une maman polonaise, l’artiste se sent avant citoyen du monde avant d’être belge, tout comme sa musique qui ne connaît aucune frontière. « Je chante en français non par militantisme mais tout simplement car c’est la langue que l’on m’a apprise et celle que je maîtrise le mieux ».

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Cette philosophie de vie est aussi présente dans sa musique qui se soucie peu des frontières ou des genres.

Pour la première fois, Guillaume Ledent enregistre et joue la plupart de tous les instruments sur tout l’album.

Ensuite, il s’entoure d’une équipe presque exclusivement féminine : Géraldine Capart au mixage (Dominique A, Miossec, Stéphanie Blanchoud…), il invite Emma Duret à poser quelques mélodies de trompette ou de voix et sa fille, Jeanne, comme souvent sur ses albums, pose des voix et quelques percussions.

Après 2 albums pour le jeune public avec Dérange ta chambre et 200 concerts devant des bambins et familles, il revient vers un album pour le public adulte que les jeunes oreilles adopteront par la fantaisie des sonorités et la bienveillance des mots. Bienvenu dans la Fancy Fair de Guillaume Ledent.

Sur scène, Guillaume (chant, guitare, clavier) est entouré par Emma Duret (trompette, voix, clavier), Bastien Wibaut (basse, Ewi), Fabian Hidalgo (batterie, choeurs) et Géraldine Capart (son)